L’impact de votre vieille chaudière sur le réchauffement climatique

Le réchauffement climatique s’accentue

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Jusqu’à +7° en 2100

Alors que l’accord de Paris signé en 2015 par de nombreux chefs d’état prévoyait de limiter la température du réchauffement climatique à 2° voire moins, les dernières études françaises établissent de nouveaux modèles de réchauffement dont le plus pessimiste prévoit une augmentation de la température globale de 7° d’ici 2100.

Face à ces prévisions alarmantes, il devient impératif de travailler à une neutralité carbone pour limiter notre impact sur l’environnement.

La fin d’un cycle…

Si les industries sont grandement responsables du réchauffement, notre vie quotidienne impacte également l’environnement. Le chauffage a aussi sa part de responsabilité.

Les chaudières au fioul et au gaz font partie des systèmes de chauffage qui émettent le plus de carbone sur le marché. Si la combustion de ces énergies participe au réchauffement climatique, leur extraction, leur raffinage et leur distribution sont également très polluants.

Aujourd’hui, ces énergies fossiles et polluantes ne sont plus compatibles avec les nouveaux objectifs en matière de développement durable et de transition énergétique. L’État français s’est donné jusqu’en 2030 pour qu’il n’y ait plus aucune chaudière fioul sur le territoire.

Le chauffage au fioul est le plus polluant

Gaz à effet de serre et pollution atmosphérique

La combustion du fioul émet une grande quantité de dioxyde de carbone et de gaz à effet de serre. Ces émissions sont responsables du réchauffement climatique mais aussi de la mauvaise qualité de l’air en période hivernale.

Le saviez-vous ?
1kWh de chauffage au fioul émet 2,24kg de Co2e

La production du fioul est polluante

L’extraction du pétrole, le raffinage et la production du fioul sont également des activités très polluantes qui entrent en compte dans le bilan carbone de ce système de chauffage. La distribution, par camion, est également responsable d’émissions de CO2 et du réchauffement climatique.

Les anciennes chaudières à gaz ne sont pas performantes

4,5 X plus d’émissions

Les anciennes chaudières à gaz ne sont pas moins néfastes pour le réchauffement climatique. Au-delà de l’impact de la production du gaz sur l’environnement, les anciennes chaudières émettent jusqu’à 4,5 fois plus de GES que les pompes à chaleur et 35% de plus qu’un chauffage électrique traditionnel.

Le biométhane reste plus polluant

Si l’État compte sur une augmentation de l’utilisation du biométhane (7% d’ici 2030) dans les foyers qui utilisent le gaz, les émissions de GES sont de 200 g CO2e / kWh et restent 25 % plus élevées que l’électricité.

Les avantages d’une pompe à chaleur air-eau

Une faible consommation énergétique

Économes en énergie, les pompes à chaleur bénéficient d’un atout de taille face aux chaudières traditionnelles. Grâce à leur fonctionnement à l’électricité, elles n’émettent pas directement de gaz à effet de serre pour chauffer et limitent donc leur impact sur le réchauffement climatique.

Un haut rendement

Pour 1kWh d’électricité, une pompe à chaleur air eau produit jusqu’à 4 kWh de chaleur. Ce très bon rendement lui permet donc de produire plus d’énergie que ce qu’elle a consommé d’électricité. Les économies réalisées permettent d’amortir l’investissement en 7 ans en moyenne.

Un confort inégalé

Couplée à un plancher chauffant, la PAC offre un chauffage homogène et un confort inégalé. Cela permet, entre autre, de maintenir une température idéale dans la maison et ainsi réduire votre consommation.

De nombreuses aides financière

Pour lutter contre le réchauffement climatique et favoriser la transition énergétique, les aides de l’État sont nombreuses pour aider les propriétaires à remplacer leur ancienne chaudière : CITE, MaPrimeRénov’, Eco-PTZ, TVA 5,5 %…

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